Bonjour à tous,
Devons-nous laisser faire, sous prétexte que nous remettons notre poisson à l’eau ? Ce serait avoir des œillères et un manque de civisme que de laisser quelques fonctionnaires d’états de décider quand bon leur semble que la Loire, le Cher ou la Vienne sont suffisamment pollués pour interdire par arrêté préfectoral la consommation de certains poissons bio accumulateur un jour et de décider sans de nouveaux contrôles de lever cette interdiction, sur la Loire et de la maintenir sur le Cher. Nous demandons la suppression de cette abrogation, et de nouvelles analyses, pour clarifier la situation a un moment où nous nous posons de grosses questions à la fois sur notre alimentation, et surtout si l’on est pas en train de jouer avec la santé des citoyens au profit de quelques lobbying. En l’occurrence ici celui des pêcheurs pro.
Le « Collectif des pêcheurs du Centre » deux semaines avant le coup de grâce, pour faire réagir ,car le 30 mars c'est mort. Le « Collectif des pêcheurs des du Centre » a contacté l'association NATURE CENTRE , pour faire les démarches administratives auprès du tribunal d’Orléans. Grand merci de votre soutien.
La pétition à signer ICI
Il a été publié le 27 juin 2011 un arrêté préfectoral :
cet arrêté se réfère
1/ au code de l'environnement
2/ au code général des collectivités local, art: L.2215-1
3/ au code de la santé publique, art: L .1311-2
4/ au code de la consommation, notamment aux articles :L213-1et suivants
5/ au règlement (C E) n°1881/2006de la consommation du 19 décembre 2006 portant fixation des teneurs maximal pour certains contaminant dans les denrées alimentaires
6/ a l'arrêté du 12 janvier 2001 modifier fixant les teneurs maximales pour les substances et produits indésirables dans l'alimentation des animaux
7/ aux recommandations de l'agence chargé de la sécurité sanitaire de l'alimentation , de l'environnement et du travail(ANSES)et notamment l'avis n°:20106 S A 60069 du 28 MAI 2010
8/ et considérant que le taux en dioxine , et polychlorobiphényles du type dioxine ( PCB -DL) supérieurs aux normes admises ont été observés sur certains poissons pêche en 2008 et 2009 dans le cadre du plan national d'échantillonnage des poissons en milieu aquatique mis en oeuvre par l' ONEMA interdisant :
le transport, la vente et la consommation de certains poissons, provenant de la LOIRE, du CHER, et de LA VIENNE dans le département 37 afin de protéger les populations consommatrices de certains poissons de ces rivières( carpes, barbeaux, brème, silure et anguilles de plus de 500gr) des risques liés au dioxine , et polychlorobiphényles du type dioxine ( PCB -DL)
il est dit dans son article 2 que cette interdiction revêtait un caractère permanent, jusqu'à ce qu'il soit établi par des analyses et divers prélèvements, que ces mesures ne se révèlent plus utiles à la maîtrise du risque pour la population
hors: il a été publié le 30 janvier 2013, un arrêté préfectoral, se référant aux mêmes articles que l'arrêté du 27 juin 2011 et qui dans son article premier : abroge celui-ci, et autorise le transport , la vente et la consommation de certains poissons bio accumulateur de PCB de la LOIRE et de LA VIENNE ,tout en maintenant les interdictions sur le cher , étant établi: que les poissons bio accumulateurs de celui ci, avait les mêmes teneurs en dioxine , et polychlorobiphényles du type dioxine ( PCB -DL) que dans les deux cours d'eau sus cités,sans qu'il n'y ait eu de nouvelles analyses démontrant la baisse significative, ramenant a des valeurs inférieurs aux normes admises ,et non dangereuses pour la préservation de la santé publique ,des taux de dioxine , et polychlorobiphényles du type dioxine ( PCB -DL)sur ces deux cours d'eau.
Par cette pétition: nous réclamons le retrait de L'ARRÊTÉ PREFECTORAL du 30 janvier 2013 abrogeant celui du 27 juin 2011 portant sur l'interdiction en Indre-et-Loire la consommation et la commercialisation en vue de la consommation de certaines espèces de poisson pêchés dans la LOIRE, le CHER,et LA VIENNE , et de laisser courir celui du 27 juin 2011 tant qu'il n'aura pas été fait de nouvelles analyses et prélèvements conformes avec les recommandations de (l'ANSES) agence citée en référence en (7/)et de l'article 2 de l'arrêté du 27 juin 2011