Lorsqu'on observe des problèmes, il faut toujours et rapidement montrer quelqu'un ou quelque chose du doigt (le prouver, c'est pas la priorité). Dans ce cas de figure, c'est le silure.
S'il n'est surement pas exempt de tout reproche (peut être et surtout sur des milieux clos de taille limitée, et encore), les maux de nos rivières sont clairement ailleurs...
Quant à l'équilibre avec les autres espèces dont il est question dans l'article, c'est exactement ce qui s'est passé sur des rivières comme la Saone et le Rhône que je connais un peu et qui ont été les 1eres à être colonisées début des années 90.